Nos conseils


1 - Trouver ton binôme

Que tu sois la personne qui témoigne ou la personne qui filme, il te faut un binôme pour participer au concours. Si tu as des difficultés pour trouver ton partenaire, n’hésite surtout pas à nous contacter !


2 - Creuser vos méninges

Réfléchissez à un scénario, une mise en scène, un cadre, et surtout, assurez-vous de ne pas être hors-sujet ! Rappelez-vous que la vidéo :

  • est le témoignage d’un sénior (plus de 60 ans) qui parle de travaux faits pour diminuer les risques d’accident, de problèmes de santé ou adapter son logement à ses capacités ;
  • montre les bénéfices de ces aménagements et doit donner envie ;
  • doit durer moins de 3 minutes ;
  • ne doit pas contenir de présentation d’un produit ou d’une marque ;
Vous pouvez en lire plus sur le sujet, ou encore regarder une vidéo exemple.


3 - Tourner votre vidéo

Moteur ? Action ! Mais avant ça, n’hésitez pas à lire nos conseils pour un meilleur rendu, ou encore regarder une vidéo exemple.


4 - Peaufiner le rendu

Vous coupez les scènes trop longues, vous ajoutez une musique si vous le souhaitez (attention à bien respecter les droits d’auteur !) et pourquoi pas un titre et un générique ? Pour cela vous pouvez utiliser un logiciel libre de droit de montage vidéo, et des musiques libres de droit.


5 - Poster votre vidéo

Rien de plus simple, vous vous rendez sur la page « Participez » avant le 15 juillet 2019, vous remplissez le formulaire. Et surtout, n’oubliez pas de nous faire parvenir par voie postale les autorisations d’utilisation du droit à l’image (et l’autorisation du représentant légal pour les mineurs) pour valider votre inscription !

Conseils pour un meilleur rendu


Définissez votre intention

Peu importe la technique, l’important c’est que l’intention passe. Et pour qu’elle passe, elle doit être claire. Si vous savez vraiment pourquoi vous faites un film, vous mettez bien plus de chances de votre coté pour qu’il touche le but !

Gardez le même matériel

Peu importe le matériel choisi (smartphone premier prix ou caméra de cinéma), utilisez le même dispositif technique de A à Z. Cela évitera les chocs visuels pour le spectateur, vous permettra de bien maitriser votre environnement technique, et vous fera gagner du temps après le tournage.

Pensez au son !

Si votre film comprend des paroles en son direct (interview, dialogues, etc…) alors vous devez absolument faire en sorte que le son soit intelligible. Utilisez un micro ( un micro-cravate sans fil est l’idéal mais ça coute un peu cher ) - à placer au plus près de la personne qui parle. Même sur un smartphone c’est possible. Si vous n’avez que le micro de la caméra ou du téléphone, rapprochez-vous et essayez de vous positionner dans un endroit peu bruyant. Si le son direct est trop mauvais, coupez-le au montage ou en dernier recours, sous titrez.

Evitez les panoramiques

Les panoramiques (balayage horizontal avec la caméra) doivent être utilisés uniquement dans des cas bien précis de description et doivent être parfaitement exécutés. Autant dire qu’en général, c’est le genre de plan qui plombe une vidéo sympa. On est tenté de faire des pano car on pense que le spectateur va s’ennuyer. C’est une fausse bonne idée. Autant rester fixe et donner à voir que de « combler le vide » en bougeant dans tous les sens.

Stabilisez l’image

Si vous avez le temps et l’espace appropriés, mettez vous sur un pied de caméra. Cela vous apportera du confort, et à vos spectateurs aussi. Et si vous bougez (la vie c’est le mouvement !) ; optez dans le meilleur des cas pour un stabilisateur (gimbal) vous allez voir ca change la vie ou sinon limitez vos mouvements. On note qu’il existe des fonctions de stabilisation d’image dans les logiciels professionnels de montage.

Pensez au rythme

A la prise de vue, pensez aux temps forts mais aussi aux temps de respiration, qui permettront des transitions, des temps de réflexion ou de titrage. La « pellicule » ça ne coute plus rien, donc ne soyez pas radin en plans qui pourront enrichir votre propos. Les plans de coupe sont des plans muets (c’est-à-dire sans évènement à l’image qui produit un son identifiable) qui peuvent être utilisés dans un montage au moment ou l’on veut masquer une coupe ou bien au moment ou il se passe un élément non voulu à l’image (exemple, quelqu’un fait coucou à la caméra pendant une interview).

Pensez (encore) au son !

Si vous faites du montage, pensez à décaler les coupes vidéo et les coupes son. Cela évite la cassure violente au moment de la coupe image (sauf si c’est volontaire), qui fait sortir le spectateur de votre film. Cette petite astuce de montage apportera de la continuité et du confort au spectateur.